Structure optimisée d'un article de blog : 17 conseils référencement

structure optimisée d'un article de blog

Comment réussir la structure optimisée d’un article de blog ? Les techniques pour rédiger un contenu bien classé dans les résultats Google peuvent parfois paraître déroutantes. On vous parle de mots-clés, de netlinking, de balisage… par où commencer ?

Ce guide SEO vous détaille les règles de base pour construire une page web parfaite.

Il n’existe aucune formule magique pour vous garantir la première place sur Google. Mais l’application des bonnes pratiques de référencement va grandement augmenter vos chances d’y parvenir.

Pour qu’un article se positionne haut dans les réponses des moteurs de recherche, il faut optimiser :

  • le snippet, également appelé extrait, sur la page de résultats ;
  • l’article lui-même.

Voici 17 conseils pour structurer votre texte de manière idéale.

💡 Conseil #1 : Optimiser la structure du snippet de la page de résultats

Un article parfaitement optimisé permettra à vos potentiels clients de trouver votre site à la suite d’une requête sur les moteurs de recherche. Cependant, le contenu lui-même ne suffit pas à être vu.

Pensez à compléter le snippet, l’extrait de votre article affiché dans la SERP. Cette partie du code HTML est souvent oubliée, pourtant la balise « Title » est l’une des plus importantes pour le référencement.

Vous pourrez aisément remplir les différents champs en installant un plugin SEO tel que Rank Math SEO ou Yoast.

➡️ Nota : le mot « snippet » est parfois utilisé pour définir l’ensemble du résultat et d’autres fois simplement pour la méta description. Cela ne change pas grand chose. L’essentiel est de ne pas omettre de la compléter.

structure optimisée d'un snippet d'article de blog
©trouver-sa-formation.fr | structure optimisée d'un snippet d'article de blog (page de résultats)

💡 #2 - Écrire une URL propre et cohérente

L’URL est l’adresse de votre page web. Elle n’a pas autant de poids en référencement qu’elle en a eu par le passé, mais elle reste néanmoins un facteur de classement.

Une structure d'URL conviviale

Les internautes et les moteurs de recherche apprécieront une architecture d’URL claire et optimisée.
En la parcourant, le lecteur saura de quoi parle la page et cliquera plus facilement.

Google lui-même a déclaré : « Les URL comportant des mots pertinents pour le contenu et la structure de votre site sont plus conviviales pour les visiteurs qui naviguent sur votre site. »

Les mots-clés dans l’URL

L’usage des mots-clés dans l’URL est aujourd’hui controversé par certains référenceurs qui estiment cette pratique obsolète.
Mais l’étude de Backlinko démontre le contraire.

Observez par exemple les termes utilisés dans une recherche concurrentielle et vous constaterez qu’ils sont repris dans les URL.
Les premières réponses ont même une correspondance exacte avec la requête.

Par exemple, l’URL du premier résultat de la requête « manger mieux » :

structure optimisée de l'url

Le permalien

L’URL est composée de deux parties :

  • votre nom de domaine qui est la racine immuable ;
  • le permalien ou slug d’URL qui est unique et différent pour chaque page.

➡️ Cette seconde partie doit être un descriptif lisible du contenu promis au visiteur :

  • les mots doivent être écrits en minuscules, sans accent et séparés par un tiret (-) ;
  • supprimez les termes vides (article, préposition, etc.) qui n’apportent rien ;
  • évitez les caractères spéciaux ($, &, %…). Ils rendent la lecture plus difficile. D’autre part, si vous incluez par mégarde une espace, elle sera traduite en % 20. 
permalien optimisé d'article de blog

Attention à la longueur de l'URL

La longueur de l’URL joue également un rôle en SEO. La limite maximale officielle est de 200 caractères, mais la taille optimale est bien inférieure.
Une étude de Ahrefs conclut que les URL plus courtes sont plus claires et obtiennent davantage de clics.
La longueur la plus efficace est comprise entre 45 et 70 caractères.

Évitez les modifications d’URL

Anticipez les futures mises à jour de votre contenu.
Par exemple, vous rédigez un article « 10 conseils pour… ».
L’année suivante, vous le complétez et arrivez à « 20 conseils… ».

🚩 Si vous avez inclus le chiffre dans votre URL et si votre texte se classe bien, vous ne pourrez plus la modifier.
Votre page « 20 conseils » affichera une URL « 10 conseils ».

URL d'article de blog

Utilisez le protocole HTTPS

Avoir un site sécurisé est aujourd’hui devenu la norme. Au-delà de l’aspect purement SEO, afficher un cadenas près de son URL rassure les potentiels clients et booste la crédibilité de votre blog.

🚩 Cela évite en tout cas d’avoir la mention « site non sécurisé » qui risque de faire fuir des internautes.

En résumé, pour créer une URL conviviale pour le référencement :

  • optez pour une URL courte (45 à 60 caractères) ;
  • écrivez un texte descriptif lisible (pas de signes bizarres) ;
  • incluez votre mot-clé cible de la page ;
  • séparez les mots par un tiret – ;
  • supprimez tous les termes vides (article, préposition, etc.) ;
  • utilisez le protocole HTTPS.

 

💡 #3 - Rédiger un titre descriptif captivant pour la page de résultats

Le titre qui figure dans les résultats de recherche indique aux moteurs quel est le sujet de la page.
Il est également très important pour les internautes. Il leur permet de savoir si l’article est pertinent face à leur requête et va les inciter à cliquer ou non.
Cette balise meta Title est l’un des éléments qui a le plus de poids en SEO. Bichonnez-la.

Rédiger un titre descriptif

D’après une étude de Backlinko, « la plupart des balises de titre sur la première page de Google contiennent des mots-clés qui correspondent exactement ou partiellement à cette recherche ».

Google lui-même recommande d’écrire des titres qui décrivent en quoi consiste le contenu.

Donner à chaque page un titre unique

Les titres uniques aident les moteurs de recherche à comprendre que votre contenu est original.
Ils génèrent également un taux de clics plus élevé.
Sur les gros sites, il peut sembler difficile de créer un intitulé différent pour chaque page, mais adopter un modèle du type
[Nom du produit] – [Catégorie] -[Marque] peut vous servir.

Positionner votre mot-clé au début du titre

Selon une étude de Moz, « plus votre mot-clé sera proche du début de votre titre, plus il aura de poids auprès des moteurs de recherche ».

position des mots-clés dans structure optimisée
👉 À noter : le mot-clé exact n'arrive qu'en 2e position car le texte comporte seulement 739 mots (contre 2 200 pour le 1er).

⚠️ Évitez toutefois le « bourrage » de mots-clés. Cette pratique de suroptimisation peut être totalement contre-productive.

La longueur idéale d’un Title

Les titres de plus de 60 caractères seront tronqués dans les résultats de recherche. Ils apparaîtront avec des points de suspension à la fin.
Ce n’est pas grave.
L’essentiel est de définir un message clair et d’inclure tous les mots importants dans les termes affichés. 

Rédiger un titre vendeur

Votre titre doit être conçu pour générer des clics. Il doit être percutant et donner envie à l’internaute de cliquer. Il fait la promotion de votre page et annonce clairement son contenu.

🚩 Attention aux fausses promesses qui risquent de décevoir vos utilisateurs et d’augmenter votre taux de rebond.

Selon votre activité, pensez à inclure votre argument de vente, votre avantage concurrentiel.

Utiliser l’écriture chameau

Cette technique est très employée dans les pays anglo-saxons. Elle consiste à mettre des majuscules sur les premières lettres des mots importants.
Ce n’est pas français, c’est vrai.
Cependant, des études ont démontré qu’elle augmentait le nombre de visites en captant davantage l’attention du lecteur.

écriture chameau pour titre d'article de blog

En résumé, un bon « Title » doit :

  • être unique ;
  • inclure le mot-clé principal au début ;
  • être percutant et donner envie à l’internaute de cliquer ;
  • avoir une partie visible logique de 60 caractères qui peut éventuellement se poursuivre, mais elle sera tronquée.

💡 #4 - Rédiger une meta description attrayante

Une meta description, ou snippet, est un court paragraphe qui apparaît dans votre extrait de recherche. Elle présente le contenu de la page. En 160 caractères, vous devez donner envie à l’internaute de cliquer sur votre résultat.

Il n’a pas directement de poids dans le référencement Google. Cependant, cette balise de description peut avoir un effet sur le taux de clics, qui lui, est un facteur de positionnement important.

Inclure un mot-clé peut être judicieux même si l’impact SEO n’est pas direct. Utilisé dans le titre et le snippet, il démontrera à l’internaute que ce résultat est pertinent pour sa requête.

Si vous ne la remplissez pas, Google mettra un morceau de votre article qui lui paraît cohérent avec la recherche.
Il peut même arriver qu’il modifie votre texte si un autre extrait lui semble meilleur.

En résumé,

  • La meta description contient 160 caractères visibles : au-delà, elle sera coupée.
  • Elle reprend le mot-clé principal dans les premiers mots.
  • Elle doit être unique et correspondre à une requête bien précise.
  • Attention, pas de fausses promesses !

N.B. Vous pourrez compléter ces balises meta de manière très simple en employant un logiciel SEO gratuit tel que Rank Math SEO.

structure opimisée d'une page web
Snippet élaboré avec Rank Math SEO

💡 #5 - Utiliser les données structurées pour booster son article

Schema Markup

Le balisage de Schema Markup peut grandement appuyer votre référencement. Il peut vous aider à améliorer votre positionnement dans la recherche locale et dans les SERP.

Aujourd’hui, il est quasi impossible de classer une recette de cuisine, des articles de presse ou des pages produits sans utiliser les données structurées.

données structurées pour booster un article de blog

Aide au balisage de Google

Cependant, pour optimiser vos pages en utilisant correctement Schema Markup, vous aurez besoin de compétences supplémentaires.
L’outil d’aide au balisage de Schema vous guidera pour rajouter des données structurées de manière conviviale :

  • choisissez le type de contenus que vous créez ;
  • mettez en surbrillance les éléments de la page ;
  • attribuez le type de balisage ;
  • puis téléchargez le fichier HTML ;
  • téléversez-le sur votre site web.

Vous pourrez ensuite vérifier le rendu avec le logiciel de test des résultats enrichis.
Entrez l’URL.
Vous obtenez directement le verdict et si besoin des conseils pour résoudre les problèmes rencontrés.

test de données structurées

💡 #6 - Élaborer une structure optimisée pour son article de blog

Le contenu est un levier d’optimisation SEO très important. C’est grâce à lui que vous allez attirer des visiteurs.
Son premier objectif est de satisfaire l‘internaute puis d’être compris par les moteurs de recherche

Des textes de qualité

Google attache beaucoup d’importance à la qualité et la fiabilité des informations véhiculées.
À l’heure de l’émergence de la recherche vocale, ce dernier favorise les contenus de qualité qui apportent des réponses pertinentes aux interrogations des internautes.

Des articles uniques

Publiez des textes uniques originaux.
Google déteste le contenu dupliqué, qu’il soit interne ou externe.

💡 #7 - Structurer votre page web avec les balises Hn

Les balises HTML Hn sont des en-têtes optimisés qui se déclinent de H1 à H6.
Elles servent à structurer le contenu avec des titres et des sous-titres.
Elles facilitent le scan initial de la page par les nouveaux venus.

Les H1 et H2 envoient un fort signal de pertinence aux moteurs de recherche.
Y inclure des mots-clés est donc de bon conseil.

Les balises sont à utiliser, de préférence, dans un ordre logique (mais rien d’obligatoire).

La balise titre H1

Techniquement, chaque page a deux titres :

  • le « Title » qui s’affiche dans les résultats de recherche 
  • la balise H1 dans le contenu lui-même.

La H1 n’est pas obligatoirement identique au Title.

Chaque article compte une seule balise H1.

Son avantage est de ne pas être limitée en nombre de caractères.
Vous pouvez donc l’allonger, inclure davantage de mots-clés ou des synonymes.

La balise de sous-titrage H2

Les balises H2 structurent la page en grandes sous-parties pour aider les utilisateurs à naviguer. Elles renseignent également les moteurs de recherche sur le sujet traité.

Vous pourrez mettre votre mot-clé principal dans une ou deux d’entre elles en fonction de la longueur du texte.
Pour les H2 restants, incluez des expressions clés secondaires.

Ces balises devront être au minimum par deux, car il s’agit de sous-titres.

Les balises H3 à H6

Ce balisage est utilisé pour marquer d’autres sous-sections dans le contenu. Il est superflu d’y inclure des mots-clés.
Au-delà de H3, elles n’ont plus vraiment de poids en SEO.
Les H5 et H6 sont rarement employées, si ce n’est pour le fil d’Ariane.

Voici un exemple de structure Hn :

structure optimisée d'article en rédaction web

💡 #8 - Composer un chapô prometteur

Le chapô, c’est l’introduction de votre texte. Ces 5 ou 6 phrases seront les plus consultées. Elles doivent donc accrocher le lecteur. Pensez à mettre le mot-clé dans les premiers mots.

L’internaute est arrivé sur cette page à la suite d’une recherche sur Google. Il veut maintenant savoir si l’article correspond bien à sa requête. Alors, autant lui donner tout de suite les informations principales sans entretenir de suspense.

⛛ C’est la technique de la pyramide inversée : les idées clés sont communiquées dès le début puis on développe des points moins essentiels.

Pour être sûr·e de répondre à toutes les questions primordiales, on utilise la règle de 5W et 2H. C’est en anglais, mais plus facile à retenir :

  • Who/Qui : de qui parle l’article ou qui est concerné ?

  • What/Quoi : quel est le sujet du contenu ?

  • Where/Où : où se passe l’action (entreprise, pays…) ?

  • When/Quand : notions de temps (dates, durée, fréquence, depuis quand…)

  • Why/Pourquoi : pourquoi est-ce arrivé ? Objectif du sujet ? …

  • How/Comment : comment, de quelle manière, quelle méthode, avec quoi ?…

  • How many/Combien : chiffres, statistiques, quantité, budget, coût…

💡 #9 - Choisir les bons mots-clés pour son texte

Google devient assez bon dans le traitement du langage naturel.
Il n’est donc plus nécessaire de faire du « bourrage de mots-clés », comme aux débuts d’internet.
Pourtant, l’optimisation des mots-clés n’a pas totalement disparu. Elle a simplement évolué. Voici quelques conseils qui ont encore du sens :

Un seul mot-clé principal par article

Cette notion est l’une des bases du SEO. Chaque texte doit être développé autour d’une seule expression clé principale.

Avec l’utilisation du champ lexical, d’autres viendront se greffer naturellement. On parle de mots-clés LSI, c’est-à-dire d’indexation sémantique latente.

Google a appris à reconnaître les synonymes et les termes associés. L’emploi d’un vocabulaire riche et varié améliorera la qualité de vos pages et leur classement dans les SERP.

Sélectionner des mots-clés de longue traîne

Ces expressions précisent vos mots-clés avec davantage d’éléments. Comme elles sont plus ciblées, elles génèrent moins de trafic, mais les visites sont beaucoup plus qualifiées. D’autre part, il est plus facile de bien se classer car elles sont moins concurrentielles.

La différence entre un mot-clé de courte, moyenne ou longue traîne ne tient pas tant au nombre de mots qu’au volume de recherche :

  • Un mot-clé de courte traîne sera demandé plus de 100 000 fois par mois. Il y a donc beaucoup de concurrence.
  • Les requêtes de moyenne traîne génèrent un volume de recherche entre 1 000 et 100 000. Elles sont plus faciles à atteindre pour un site ayant déjà une certaine autorité.
  • On parle de longue traîne pour les requêtes demandées moins de 1 000 fois par mois, avec bien moins de concurrence.

Quels outils aident à trouver les bons mots-clés ?

Interrogez Google !

Lorsque vous tapez un mot dans la barre de recherche, le moteur vous propose automatiquement une liste d’expressions ou de phrases. Il s’agit de suggestions de « recherches associées » qui sont en réalité des mots-clés LSI demandés par les internautes. Vous les retrouvez également en bas de la page.

mots-clés pour optimiser l'article

Google Ads

L’outil de planification des mots-clés Google Adwords vous propose une liste de mots en rapport avec votre activité et estime leur volume de recherches.

optimiser son contenu

Où positionner vos mots-clés dans une structure optimisée de contenu ?

Employez votre mot-clé dès le début de votre publication pour aider Google à comprendre votre sujet.
Vous le faites sûrement naturellement.
Mais on voit beaucoup d’articles qui commencent par une longue introduction et l’expression clé n’apparaît que bien plus tard dans le texte.

➡️ Voici les endroits stratégiques où inclure votre mot-clé principal dans un article optimisé :

  • dans le titre H1 (dans les 3 premiers mots de préférence) ;
  • dans le chapô ;
  • dans 2 sous-titres (dans 1 seul pour un contenu < 500 mots) ;
  • au début du 1er paragraphe ;
  • dans la conclusion.

💡 #10 - Adapter la longueur du contenu

Google préconise des contenus de 300 mots au minimum alors que le plugin Rank Math SEO demande 600 mots.

Dans les faits, les pages de 1 000 à 2 000 mots sont de plus en plus nombreuses. Les premières places sont souvent occupées par des articles de plus de 3 000 mots.

Il reste malgré tout difficile de définir une longueur idéale. Ce qui compte le plus c’est que votre page couvre le sujet dans son intégralité.

L’étude de Backlinko démontre que « le nombre moyen de mots d’un résultat de première page Google est de 1 447 mots ».

Une analyse de Hubspot affirme, quant à elle, que « les articles comptant plus de 2 500 mots sont les plus partagés sur les réseaux sociaux ». 

étude hubspot sur les mots-clés
©hubspot.fr

Toutefois, si le résultat n°1 correspondant à votre mot-clé comporte 7 000 mots, il faudra faire mieux pour envisager le dépasser… (ou changer de mot-clé).

💡 #11 - Optimiser ses visuels

Les internautes adorent voir de belles images, des vidéos ou des infographies explicatives. Ces visuels améliorent sans aucun doute l’expérience utilisateur. Ils réduisent également le taux de rebond, car les visiteurs passent plus de temps sur votre site.

De plus, des visuels de haute qualité rendent votre site éligible pour la recherche d’images Google et peuvent même générer des backlinks (liens entrants).

Remplissez vos attributs d’images Alt

Ce code HTML est très souvent oublié. Pourtant, il permet aux moteurs de recherche de « voir » vos visuels. Ils lisent la description et savent ainsi ce que représente l’image.

Complétez l’attribut Alt avec un titre incluant votre mot-clé ou un synonyme.

🚩 Attention, le bourrage de mots-clés et les phrases trop longues sont considérés par Google comme un drapeau rouge.
Ne dépassez pas 100 caractères.

Compressez vos fichiers

Dimensionnez vos images au bon format et compressez-les avant de les télécharger. Cela aura un effet positif sur la vitesse de chargement de la page et l’expérience utilisateur (UX).

Ajoutez une transcription à vos vidéos

Si vous mettez une vidéo sur une page pauvre en contenu, envisagez de la retranscrire. Vous rajouterez ainsi du contenu textuel.

💡 #12 - Suggérer des liens internes

Un site web avec une structure optimisée doit avoir un flux de liens internes bien organisés d’une page à l’autre. Un lien fonctionne comme un fluide qui fait circuler l’information le long d’un maillage interne.

Relier les pages entre elles peut avoir plusieurs objectifs, mais dans tous les cas cela permet de garder les visiteurs plus longtemps sur le site. Idéalement, chaque page devrait renvoyer vers d’autres pages pertinentes, des produits ou d’autres points de conversion. Faites tout de même attention à diriger l’internaute vers une page destinée à compléter son expérience, en rapport avec le contenu.

Un moyen de créer ce flux consiste à ajouter des recommandations en fin de page ou des liens internes au sein d’un contenu.

Vous pouvez également créer un fil d’Ariane. Non seulement il permet aux utilisateurs de naviguer plus facilement sur le site, mais il indique aux moteurs le contenu de la page.

De plus, vous pouvez ajouter des données structurées spécifiques.

💡 #13 - Relier ses contenus à la Toile par des liens externes

Les liens sortants vers des pages associées sont un signal de pertinence qui aide Google à comprendre le sujet de votre article. Ces renvois vers des sources fiables lui montrent également que votre contenu est de qualité.

Google n’a jamais déclaré explicitement que cela améliorait votre classement, mais de nombreux experts SEO en sont persuadés.

Une bonne règle de base serait de faire 2 à 4 liens externes par 1 000 mots. Assurez-vous toutefois de créer des liens vers des sites d’autorité.

Soignez vos textes d’ancres, c’est-à-dire le texte cliquable. Pour Google, il doit avoir un sens. Il doit s’intégrer naturellement dans votre contenu et décrire précisément ce vers quoi il renvoie. Variez les ancres utilisées vers une même page. Google considèrerait les répétitions comme de la suroptimisation.

💡 #14 - Inclure un CTA dans la conclusion

Terminer votre article par une courte conclusion qui résume les idées essentielles ou propose une ouverture. La dernière phrase sera un « call to action » (CTA) à s’inscrire à la newsletter, laisser un commentaire, partager sur les réseaux sociaux ou inciter à l’achat.

💡 #15 - Définir les commentaires en nofollow

Si vous autorisez les commentaires, assurez-vous que tous les liens publiés dans cette section sont bien définis en nofollow. Cela découragera les éventuels spammeurs. Il est à noter que cette balise est ajoutée automatiquement dans certains CMS dont WordPress.

💡 #16 - Booster le partage social

Bien que les réseaux sociaux n’influencent pas directement le classement, ils peuvent générer du trafic supplémentaire.

Partager vos articles sur Facebook ou Twitter contribuera à votre notoriété. Pour cela, installez sur votre page de simples boutons de partage. Le compteur est quant à lui critiqué car il génère une problématique liée au Javascript.

💡 #17 - Vérifier que son site est mobile friendly

La majorité des recherches se fait aujourd’hui depuis un appareil mobile. La convivialité d’une publication sur tablette ou smartphone est devenue incontournable. La conception d’un site responsive est certainement la manière la plus simple d’optimiser vos résultats.

Vous pouvez utiliser le test d’optimisation mobile de Google pour vérifier chacune de vos pages individuellement.

Si vous êtes enregistré sur Google Search Console, allez sur « Améliorations > Ergonomie mobile » pour contrôler en une seule fois toutes les pages de votre site.

google search console ergonomie mobile

🎁 Bonus : pour créer un article de blog 100 % optimisé, formez-vous à la rédaction web

Apprendre la rédaction web SEO n’est pas réservé aux futurs rédacteurs ou rédactrices web. Le contenu est le pilier majeur du référencement naturel. Suivre une formation vous permettra d’être au top de l’efficacité pour optimiser vos articles et gérer la stratégie éditoriale de votre business en ligne

J’ai dédié un article à la formation « Devenir Rédacteur Web » de Valérie Sakly que j’ai suivie à mes débuts. Je raconte tout !

Voilà, la structure optimisée d’un article de blog n’a plus de secrets pour vous ! Vous connaissez maintenant toutes les astuces du rédacteur web SEO pour rédiger des contenus prêts à ranker sur Google. Pensez à mettre en place un calendrier éditorial de manière à inclure votre article dans une stratégie de contenu globale cohérente. Il ne vous reste plus qu’à soumettre votre article à Google pour demander son indexation afin qu’il figure dans les résultats de recherche.

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